Coques et ravioles fenouil / tomates mi-confites.
Pâtes : 300 gr. de farine blanche type 00 + 100 gr. de farine de semoule / 4 œufs /
4 cuillères à soupe d’huile d’olive / 2 pincées de sel.
Farce : 1 petit fenouil / 1 échalote / 12 pétales de tomates mi-confites / 100 gr. de ricotta /
¼ de citron / huile d’olive / 1 poignée de persil plat (basilic sur la recette de base) /
sel et poivre du moulin.
Coques : 1 kilo de coques (achetés la veille et dessablés) / 2 gousses d’ail dégermées /
1 échalote / 1 poignée de persil plat / huile d’olive / sel et poivre du moulin.
Crème mousseuse : 50cl de bouillon de poisson (j’ai - enfin Madame puis que je dressais les ravioles -
ajouté le jus de cuisson des coques) / 20cl de crème fraîche / 1 échalote /
1 trait de jus de citron / 1 noix de beurre (pô sur la recette de base) /
1 pincée de curcuma (pô sur la recette non plus) / sel et poivre du moulin.
Recette pécho chez ma copinaute « Isa . . . belge » du blog . . .
POURQUOI PAS ? ? ? . . .
Recette :
La veille, dessabler les coques :
Déposer les coques dans un grand saladier, puis faire couler de l’eau fraiche dessus.
Brasser vivement, changer l’eau puis laisser tremper 3 heures 00 au frigo.
Recommencer 3 fois cette opération.
Confection de la pâte à pâtes :
Pour la confection de la pâte à pâtes, cliquer ICI, j’avais publié un article fort détaillé à ce sujet.
Réalisation de la farce :
Emincer l’échalote et couper les pétales de tomates et le fenouil en petit dés.
Dans une poêle, faire suer l’échalote dans un petit peu d’huile d’olive.
Ajouter le fenouil et faire sauter à feu vif pendant 2 minutes.
Laisser complètement refroidir avant d’ajouter les dés de tomates mi-confites, la ricotta, sel, poivre, le persil plat ciselé, les zestes finement râpé du citron et un filet de jus.
Rectifier l’assaisonnement, puis réserver.
Ravioles :
Poser une bande de pâte sur le plan de travail et y faire des petits tas de farce.
Badigeonner la pâte autour de la farce avec un pinceau trempé de l’eau, recouvrir d’une seconde bande de pâte.
Bien appuyer sur les 2 pâtes.
Découper à la forme voulue à l’aide d’un emporte-pièce, puis les réserver sur du papier sulfurisé.
Coques :
Faire suer l’échalote et l’ail émincés dans un filet d’huile.
Ajouter les coques, le sel (très peu), le poivre, et le persil plat ciselé.
Faire sauter à feu vif en remuant.
Crème mousseuse :
Faire suer l’échalote émincée dans un filet d’huile d’olive.
Ajouter le bouillon (et le jus de cuisson des coques) et laisser réduire de moitié.
Ajouter la crème, le curcuma, le sel et le poivre.
Laisser frémir 10 minutes.
Ajouter le jus de citron et mixer. Monter la crème au beurre, puis réserver au chaud.
Cuisson :
Faire bouillir une grande quantité d’eau salée et y pocher les ravioles pendant environ 8 minutes (suivant l’épaisseur de la pâte et la taille des ravioles).
Dressage :
Dresser les ravioles, les coques et la sauce mousseuse.
Servir immédiatement
Commentaire :
Ca faisait un bon bout de temps que je n’avais pô cuisiné de ravioles.
Pis là, en découvrant cette recette sur le blog d’Isa . . . belge, ça m’a immédiatement donné envie de la réaliser.
Bon, ben comme toute recette de ravioles, il faut en priorité : de la patience ! ! ! . . .
Mais bon, honnêtement, je ne regrette pô du tout le temps passé.
Pourquoi le Gars qui a inventé les razvioles il a pô inverser le temps qu’il fô pour les confectionner avec le temps qu’il faut pour les déguster ?
La pt’ite astuce du Gars :
Badigeonner la pâte autour de la farce avec un pinceau trempé de l’eau pour lier les 2 pâtes lors de la confection des ravioles.
Perso, j’oublie de le faire une fois sur deux, mais si vous appuyez bien sur les 2 pâtes, ça se soude bien quand même.
Bien appuyer sue les 2 pâtes en prenant soin de chasser les bulles d’air.
Encore un p’tit coucou d’chez le Gars :
Avec le échauffement des 2 dernières semaines,
je ne vais plus au fond du jardin pour faire de la raquette, y’a plus d’neige ici.
Par contre, à 1 heure de la maison, superbe rando dans la neige
effectuée hier avec ma chérie, face au Mont-Blanc.
Fôto spécialement dédicacée à Calisse ! ! ! . . .