Crème glacée de chou-fleur à l’huile de curry, d’après Joël ROBUCHON.
Crème de chou fleur : 250 gr. de sommités de chou-fleur / 100 gr. d’oignons (Comme Mr
LA TABLE DES CHEFS, j’ai utilisé un petit oignon jaune) / 15 gr. de beurre /
25 cl. de bouillon de volaille (en cube ou en poudre, sauf à avoir le temps et les
ingrédients pour en faire un maison) / 25 cl. de crème fraîche /
10 cl. de lait entier / sel et poivre du moulin.
Huile de curry: 10 cl. d’huile d’arachide / 10 cl. d’huile d’olive / 30 gr. de gousses d’ail /
5 gr. de curry en poudre / 3 gr. de branche de romarin / 3 zestes d’orange.
La garniture : Quelques sommités de chou-fleur / 12 cl. d’huile d’olive / 4 cl. de jus de citron /
3 gr. de sel fin / quelques brins de ciboulette.
Recette :
Voici une recette pécho dans le sublimissime blog LA TABLE DES CHEF, blog qui porte bien son nom en publiant une recette de Maître ROBUCHON.
Maître Robuchon recopié par Maître Grostachon, vous z’allez pô être déçu . . .
C’est vrai que dès tout petit, le chou fleur . . . Beurk ! ! ! . . .
Ca sent super fort lorsque l’on mange, pis après on pète pendant des heures, et ça sent encore plus fort que lorsqu’on la mangé ! ! ! . . .
Tout en finesse Le Gars, mais rien à . . . pèter . . .
Heureusement, y reste les Big Grands Chefs qui eux seuls sont capables de mettre en valeur (et de manière subliminale) ces ingrédients qui nous rappellent de mauvais souvenirs.
C’est pour ça d’ailleurs qu’c’est des chefs . . .
L’art de sublimer un ingrédient basique . . .
Si l’une ou l’un d’entre vous connais une recette extraordinaire à base de chou de Bruxelles, je suis preneur . . .
Huile de curry :
Pré chauffer le four à 80°C.
Déposer tous les ingrédients (huiles, gousses d’ail pelées et germe retiré, curry, romarin, zeste d’orange) dans un bocal en verre.
Déposer le bocal dan le four, puis enfourner pendant 3 heures 00.
Attention à ne pas dépasser la température autrement l’huile se transforme en friture (et à minuit en citrouille . . .).
Crème de chou-fleur :
Blanchir les sommités de chou-fleur pendant 30 secondes dans de l’eau bouillante.
Egoutter et réserver.
Emincer les oignons, puis les faire revenir pendant 2 minutes (dans une casserole, pas une poêle, il faut de la place) dans le beurre sans les brunir. (Simplement les faire suer).
Ajouter le bouillon de volaille, puis le chou-fleur précédemment blanchi.
Laisser cuire pendant 20 minutes à couvert, sur feu doux.
Ajouter la crème fraîche et le lait, puis laisser cuire pendant encore 2 à 3 minutes.
Mixer, puis rectifier l’assaisonnement.
Passer au chinois, puis laisser refroidir.
Garniture de chou-fleur :
Récupérer quelques sommités de chou-fleur, puis les cuire 10 minutes dans de l’eau bouillante salée.
Egoutter.
Préparer une vinaigrette avec le jus de citron, l’huile d’olive et le sel.
Déposer les sommités de chou fleur, puis laisser mariner.
Dressage :
Verser la crème de hou fleur au centre des assiettes de service.
Déposer délicatement quelques sommités de chou-fleur marinés, puis, l’huile de curry ajoutée goutte à goutte.
Ajouter quelques brins de ciboulette, et déguster.
Commentaire :
Génialissiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime ! ! ! . . .
Voilà, un seul mot pour décrire cette recette.
Allez, je me lâche une nouvelle fois : Génialissiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime ! ! ! . . .
De plus, il n’y a que des ingrédients très simples à trouver dans le commerce, et ce n’est vraiment pô une recette très compliquée à réaliser.
Mais quel résultat . . .
L’huile de curry, ça c’est une belle découverte . . .
Quel goût ! ! ! . . .
Quelles gouttes et « Paf ! ! ! . . . ».
Ça boost totalement le plat.
Fô dire qu’à la maison, le curry est un épice très utilisé, notamment par le Gone du Gars qui pourrait en mettre dans tous ses plats . . .
La pt’ite astuce du Gars :
Le gars, roi des 6… boulettes ! ! ! . . .
Je disais donc précédemment : Génialissiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime ! ! ! . . ., mais j’me suis planté grave pour cette recette (ben j’suis pô près d’les réussir mes macarons, et encore moins d’en obtenir un pour ma cuisine . . .).
Nous nous sommes donc fort régalés en dégustant cette crème glacée dont je ne comprenais pô le titre lors de la dégustation.
Et pour cause, j’avais pô lu la phrase : « puis laisser refroidir ».
Parce que le gros nunul de Le Gars, il a dégusté un velouté chô au lieu d’une crème glacée.
Bon, la tarte Tatin a bien été conçue par erreur, pis moi aussi d’ailleurs . . .
L’huile de curry, je l’ai réalisé la veille au soir (heures creuses = économie d’énergie), pis surtout une fois que j’ai cessé la cuisson, j’ai fermé le couvercle et j’ai laissé le pot tout la nuit dans le four.